Muësa, pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Derrière Muësa, il y a Muriel et Auriane, mère et fille. Nous venons du Bassin d‘Arcachon, même si Auriane vit depuis maintenant 3 ans à Paris. 

Pouvez-vous nous raconter votre parcours ?

Muriel :
J‘ai appris à coudre par moi–même lorsque j‘étais jeune et ai toujours créé par passion : vêtements, accessoires, décoration... j‘ai acquis naturellement un savoir–faire que je prenais plaisir à appliquer pour moi à travers mes créations. J‘ai toujours été passionnée de mode et ai d‘ailleurs tenu pendant plus de 15 ans un magasin de prêt–à–porter à Arcachon. Je suis aujourd‘hui la créatrice derrière les modèles Muësa.

Auriane :
Issue d‘une formation de marketing et communication digitale, je m‘occupe de la partie développement du projet. C‘est moi qui suis derrière le compte Instagram, le site et toute la partie partenariats. Sensible à l‘écologie, je souhaitais à tout prix proposer des produits éco–responsables pour une consommation raisonnée.

Peux-tu te présenter en quelques mots ?

Je m’appelle Léa, j’ai bientôt 26 ans, je crée des bougies à la cire de soja depuis quelques mois.

Peux-tu nous raconter ton parcours ?

Après avoir fait des études dans le tourisme et l’hôtellerie, j’ai eu l’opportunité de venir travailler sur le bassin d’Arcachon. Puis le confinement en 2020 a pointé le bout de son nez. En novembre 2020 pendant le deuxième confinement, je  me suis lancée dans la conception de bougies pour passer le temps. Au début, c’était uniquement du loisir pour moi et mes proches, puis petit à petit j’avais de bons retours et j’ai décidé de me faire connaître sur les réseaux sociaux. Maintenant, je suis fière d’avoir passé ce cap. Voir que ce que je crée plaît cela m’encourage à continuer.

Parle-nous de ta marque ?

Bougie du bassin, c’est la création de bougies et de fondants naturels à base de cire de soja. Chaque création est faite par mes soins, chez moi. Les parfums utilisés sont pour la plupart sans CMR. J’y ajoute des fleurs séchées et des coquillages pour les rendre unique.

A.MAR , pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

A comme Adriana, Mar comme Margaux, AMAR c’est AIMER en espagnol, et dans AMAR il y a MAR, La mer. Nous sommes deux amoureuses du voyage, qui se sont rencontrées en 2018 au Mexique. Nous habitons Arès et à Lège. Nous avons créé notre marque A.MAR en 2020 sur la presqu’île du Cap-Ferret.

Pouvez-vous nous raconter votre parcours ?

Adriana :
Après mes études en psychologie à Barcelone, où je suis née, j’ai travaillé deux ans et demi dans le domaine de l’éducation, auprès d’enfants autistes. Ne trouvant pas toutes les réponses dans ce domaine je me suis tournée vers la pratique spirituelle et la philosophie du yoga. J’ai choisi un mode de vie alternatif, basé sur les valeurs simples de générosité, d’écologie et d’harmonie avec la nature. Toutes ces valeurs que j’essaye de transmettre autour de moi.
A.MAR me permet d’exprimer l’ensemble de ces idéaux au travers de la création.

Margaux :
J’ai grandi à cheval entre deux familles, entre Bordeaux et le Bassin. Durant mes études aux Beaux-Arts de Paris, je rentrais chaque été faire mes saisons sur le Bassin auprès de ma famille et mes amis. J’allais à la plage, je surfais, je chérissais profondément ce territoire de mon enfance. Tout ce temps à faire les allers et retours entre Paris et le Bassin, j’ai nourri l’envie de revenir habiter et travailler ici. Investir ma démarche artistique dans la création d’un projet qui s’inscrive dans la vie que nous menons ici, au Bassin. Nos deux chemins se sont rencontrés, nous sommes devenues amies et de l’union de nos deux univers est né l’univers A.MAR.